Publié en décembre 2010

Faire vivre... une certaine précarité psychique

par Françoise Attiba
Il y a donc ce geste, cette main sur l’épaule, calmement posée, qui retient, qui apaise et évite le saut vers «  le tranchant glacé du néant  » dans les flots de la mer de l’Est  ; cette main romanesque appartient à Natsume Dombori. C’est un vieux flic humaniste en retraite, dont la vie est vouée à cette petite station balnéaire japonaise, aux falaises à pic, lieu de rendez-vous de tous les désespérés...
Voir sur le site du CAIRN :
https://www.cairn.info/revue-chimeres-2010-3-page-139.htm
Publié dans le numéro

Chimères n°74 - Biopolitiques ?