L’amour (ardente) de la liberté

par Antonella Santacroce
C’est un sentiment de nature éthique qui me pousse à tracer les lignes qui vont suivre, car moi aussi, par le passé, j’ai «  sombré dans la folie  », comme l’on dit. Et pas que ça.Moi aussi j’ai été hospitalisée contre ma volonté, et je me suis refusée d’une façon têtue aux «  soins  », m’obstinant (oui) à ne pas vouloir avaler ces médicaments qu’on me proposait. Moi aussi, je me suis violemment révoltée,...
Voir sur le site du CAIRN :
https://www.cairn.info/revue-chimeres-2009-2-page-209.htm
Publié dans le numéro

Chimères n°70 - Dedans - Dehors, 1