Un théâtre ouvert aux abandonnés de la culture

par Serge Sándor
J’ai commencé très jeune comme comédien, j’étais révolté, je croyais naïvement que le théâtre pouvait changer le monde, que son impact était aussi bien artistique que politique ou social, je me suis donc tourné vers des metteurs en scène «  engagés  ». J’ai vite déchanté, je sentais une forme d’endormissement, de cloisonnement, les textes étaient forts mais le public était souvent le même, les professeurs,...
Voir sur le site du CAIRN :
https://www.cairn.info/revue-chimeres-2013-2-page-131.htm
Publié dans le numéro

Chimères n°80 - Squizodrame et schizo-scènes